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mercredi, 21 mai 2008

Ceci est une note de mauvaise humeur

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...même si c'est pour une bonne action, même si ça part d'un bon sentiment (comme on dit...)

parfois cela vous laisse comme un goût d'amertume et d'impuissance.

Aujourd'hui, tout art ou autres formes d'esthétisme se meurent... de trop de confrontation aux rigueurs des "bons" pensants ...

 

 


Comment faire valoir l'art ? ...Gratuitement, vous êtes magnifique, génial, meeeerrveilleux...

Et dès que vous annoncez la couleur... prétentieux, nul, à chier....

Et nos gouvernants de glorifier les grandes valeurs du bénévolat. Or, c'est déguiser une triste réalité que celle de mépriser ceux qui ont choisi de créer ...

Je constate de plus en plus ce mépris s'exprimer contre les professionnels de l'art... et j'avoue mon impuissance à ce défi...

Il faut sans cesse batailler pour prouver la nécessité de l'art... les artistes ont besoin de vivre de leur art, les artistes sont les miroirs de notre société, et ne sont pas là, pour juste "décorer" la vie, mais pour la refléter, la dénoncer, l'amplifier, et la faire comprendre... d'où tout un trouble, une gêne des publics ... une incompréhension des valeurs.

Tandis que les amateurs remplissent les salles, que les bénévoles se glissent dans les costumes d'époque pour "figurer" sous une ruine flamboyante... et les spectateurs excités viennent remplir les poches ... de qui... ? ... pas de ceux qu'on pense ! ... et les artistes ne travaillent plus, et ne sont plus indemnisés par les assedics. Ah! oui, au fait ... ce sont les artistes qui ont du travail qui peuvent prétendre aux indemnités, les autres ... démerdate vobiscum... 

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jeudi, 08 mai 2008

3 COULEURS... peintures ?

 

mercredi, 30 avril 2008

À mes chers administrés…

Lectrice, lecteur,
Bloggeuse, bloggeur,

C'est par le truchement de Mon Secrétaire Particulier que je souhaitais vous remercier de continuer à venir visiter mon blog, bien que les nouvelles notes y soient plus rares qu'un rayon de soleil au mois d'avril 2008…

Entre les ouvertures d'atelier, les fermetures de festival, les montées sur Paris, les descentes d'estrade officielle, les discours enflammés, les conseils, les commissions, les sous-commissions… voir les petites commissions, je ne sais plus où donner de l'écharpe…

J'espére de tout coeur que les futurs ponts, viaducs et bretelles d'autoroute de ce début mai vont m'aider à me poser un peu, afin de ne négliger personne, et pour que je puisse reprendre "à fond la forme", mes activités artistiques, jardinesques, municipales… z'et privées.

Municipalement votre,

Patrice M.

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P.S : Pour la photo dédicacée, veuillez vous adresser à Mon Secrétariat. D'un goût sûr et affirmé, il saura faire la sélection entre la groupie de base et le fan assidu…
Y'en aura pas pour tout le monde !