Il ne suffit pas de le dire...

 

...il faut le faire !

Je reprends mon dernier travail arrété depuis quelques temps pour le faire avancer, éventuellement le terminer, si tant est possible qu'un tableau soit terminer.

Ce tableau ne cache-t-il pas plutôt l'extase phantasmée de celui qui  produit ce tableau, plutôt que la douleur du sacrifié. Comme quoi derrière la peinture, souvent religieuse, se cachait beaucoup plus de rêves et de secrètes envies sublimées sous des drapés compliqués et alambiqués . Je ne pense pas qu'il s'agissait là de l'amour des tissus, même si nous avions à faire à de grands hommes très raffinés, je pense qu'ils préféraient les muscles saillants et bien dessinés, révélés par des lumières subtiles ou des corps d'éphèbes diaphanes qu'ils auraient été prêts à secourir à la moindre défaillance...

... nouvelle simulation...